"Wie intern die Dokumente eines Externen sein können, sei dahingestellt. Besonders dann, wenn es sich um Fotogafien aus einem jener Länder handelt, die von den USA derzeit ernsthaft bedroht werden - abermals aufgrund wenig bewiesener Anschuldigungen. Trotzdem hat die Fotojournalistin Ulla Kimmig mit ihrer Austellung "Iran Intern - zwischen Stillstand und Aufbruch", die ab morgen im Museum für Völkerkunde zu sehen ist, einen Blick "hinter die Schleier" gewagt, dessen Vorarbeiten übrigens nicht einfach waren: Behörden, Geistliche, Soldaten, aber auch "Zivilisten" und Gefängnisinsassen hat die Fotografin überzeugt, für ihr Projekt Modell zu stehen." (TAZ)

"Comment est-il possible de travailler en Iran en tant que femme ? C'est certainement une des questions que l'on me pose le plus souvent. C'est à la fois facile et très difficile. Les femmes, aussi bien les femmes âgées que les femmes jeunes, valent peu de choses, aussi bien devant un juge par exemple qu'aux yeux de beaucoup d'hommes. Mais ce qui rend les choses particulièrement difficiles, c'est le port obligé du 'hijab', un long manteau accompagné d'un foulard, même dans une chaleur extrême et dans des situations de travail difficiles. On ne peut s'en débarrasser que derrière les murs laids des maisons en ville ou derrière les murs en terre cuite à la campagne où la vie en Iran commence véritablement." (Ulla Kimmig, Revue.com)